10 de mayo de 2008

Le temps des cerises


Quand nous en serons au temps des cerises et gai rossignol et merle moqueur. Seront tous en fête Les belles auront la folie en tête. Et les amoureux du soleil au coeur. Quand nous en serons au temps des cerises sifflera bien mieux le merle moqueur. Mais il est bien court. Le temps des cerises. Où l’on s’en va deux cueillir en rêvant des pendants d’oreilles. Cerises d’amour aux robes pareilles. Tombant sous la feuille en gouttes de sang. Mais il est bien court. Le temps des cerises. Pendants de corail qu’on cueille en rêvant quand vous en serez au temps des cerises. Si vous avez peur des chagrins d’amour evitez les belles. Moi qui ne crains pas les peines cruelles. Je ne vivrai pas sans souffrir un jour quand vous en serez au temps des cerises. Vous aurez aussi des chagrins d’amour j’aimerai toujours. Le temps des cerises. C’est de ce temps-là que je garde au coeur. Une plaie ouverte et dame Fortune en m’étant offerte. Ne saura jamais calmer ma douleur. J’aimerai toujours Le temps des cerises et le souvenir que j’en garde au coeur.

Jean Baptiste Clement

2 comentarios:

Anónimo dijo...

Una feliz idea traer a la memoria este lindo y metafórico poema. De pronto me ocurrió la búsqueda de las versiones cantadas. Entre tantas me sorprendió la interpretación de Bobbejaan & Geike. Gracias por el recuerdo: Lu

Anónimo dijo...

Aquest titol m'ha fet recordar el llibre El temps de les cireres, una de les novel·les més brillants de Montserrat Roig. ës una crònica de l'època franquista, d'una època sense esperança i sense futur, que reflecteix la crisi de valors provocada per la repressió i la manca d'un pensament polític i ideològic. Un magnífic fresc de personatges, un llenguatge ric i viu i la creació de tot un microcosmos configuren aquesta novel·la que conté un bell cant a l'esperança